La compétition connue pour rassembler près 300 à 330 compétiteurs tous les ans, s'attendra à une baisse d'effectif par manque de budget dû à la crise économique, sont principalement les associations culturelles des 5 archipels qui ne peuvent pour la première fois payer leurs frais de transport à destination de Tahiti. Une longue préparation de vente de plat y oblige à l'avance pour financer le billet d'avion."Le seul regret c'est que nous n'aurons pas nos athlètes habituelles des îles. Je sais qu'il se prépare déjà à l'avance, on a vraiment une pensée forte pour eux, mais par contre nous aura le farerei aga qui se tiendra à Rangiroa du 14 au 20 septembre, et là nous allons retrouver nos athlètes des archipels notamment des tua motus." a souligné le président de la fédération Heiva Tuaro Maohi Énoch Laughlin.

Quelques modifications ont été réalisés notamment pour le concours de levée de pierres à deux catégories open-femmes de 10 kilos, 15 kilos pour les hommes, avec le maintien de la décharge des 30 kilos pour la catégorie master. 

Au risque épidémique du coronavirus, les spectateurs comme les participant auront l'obligation de porter un masque."On aura plus les sports traditionnels avec contact, comme la lutte, nous prendrons les dispositions qu'il faut pour respecter le protocole sanitaire et qui est imposé dans toutes les activités sportives. On aura le patia fâ de toutes les catégories, le levé de pierre, le grimper au cocotier et le coprah. Nous n'aurons pas par exemple le coprah par équipes, 803 très proche, et là nous pensant qu'il peut y avoir un risque de contamination."